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Enneigement correct en montagne pour le début du printemps

Nous entammons le tout dernier week-end de l'hiver. A 2 semaines des vacances de la zone C, le printemps va débuter dans moins de 48 heures. L'occasion de faire un point sur l'enneigement global de nos massifs.


ALPES DU NORD :


L'enneigement est relativement correct pour une mi-mars sur les massifs des Alpes du Nord, avec des premières neiges généralement observables entre 1200 et 1300m. Compte tenu de la douceur de ces deux dernières semaines, le manteau neigeux s'est sensiblement réduit aux plus basses altitudes, et notamment sur les secteurs exposés au sud. Mais les fortes chutes de neige du premier week-end du mois ont été particulièrement bénéfiques et permettent de préserver un manteau neigeux encore important au delà de 2000m. Sur les secteurs face Nord, la couche dépasse encore allègrement les 2m sur les parties les plus hautes de certains domaines, au dela de 2500m d'altitude.


 




Domaine skiable des 2 Alpes (Isère) - 15 mars 2017


 


ALPES DU SUD :


Sur la moitié méridionale des Alpes, l'enneigement y est bien plus réduit. Les chutes de neiges relativement limitées cet hiver, couplées à une grande douceur ces derniers jours ont fait fondre la quasi-totalité de la couche en deça de 1500/1600m. Au dessus de 2500m d'altitude, où la température n'est que faiblement positive, la fonte ralenti permet d'observer un manteau neigeux encore très acceptable, globalement supérieur au mètre sur les pentes exposées au Nord.




Station de Isola 2000 (Alpes-Maritimes) - 17 mars 2017 - Instagram Emeline_kvc


 


PYRENEES :


Sur les Pyrénées, la douceur du mois n'est pas non plus sans conséquence puisque les premières neige se sont visibles qu'au dessus de 1500m d'altitude. Le manteau neigeux est sans surprise le plus limité sur la partie orientale de la chaîne (Cerdagne notamment). Néanmoins, les abondantes chutes de neige observées lors de la seconde partie du mois de Janvier ainsi qu'en Février permettent le maintien d'une couche encore importante pour la saison à haute altitude, principalement sur les Pyrénées centrales (parfois plus de 3 mètres en face Nord, au dessus de 2500m).




Domaine skiable de Peyragudes (Haute-Garonne) - 15 mars 2017


 


JURA / VOSGES :


Tout comme sur les Alpes et les Pyrénées, l'arrivée du printemps et de sa douceur pour ce mois de Mars a amorcé une nette fonte des neiges sur le Jura et les Vosges. Les premières traces ne sont d'ailleurs visibles qu'autour de 1000/1100m.



 


 


MASSIF CENTRAL:


Une situation indentique sur le Massif-Central, où la neige n'est présente qu'au dessus de 1200m d'altitude. Une couche qui parvient à dépasser les 30cm seulement près du sommet du Sancy, au delà de 1500m.



 


 


CORSE:


Malgré des températures relativement douces, la couche se montre encore épaisse pour l'époque de l'année sur les sommets Corses. La conséquence d'épisodes très humides a répétition au cours de ces derniers mois, apport d'un stock neigeux remarquable principalement sur la partie orientale de l'île.



 


Publié le 19 mars 2017 @ 16:05

Humidité : une semaine plus mouvementée en perspective



Un changement de temps pourrait s'opérer en ce début de semaine, qui pourrait s'annoncer un peu plus mouvementée que celle écoulée. Dès ce lundi, un thalweg d'altitude devrait s'approcher par les côtes de la Manche. La promesse d'un temps plus perturbé, avec le passage de plusieurs front pluvieux entre lundi et mercredi.


Seulement, ce thalweg devrait finir par plonger en direction de la péninsule Ibérique, puis de la Méditerranée au fil de la semaine, finissant par s'isoler en goutte froide. Un creux dépressionnaire qui devrait stationner durant plusieurs jours, plaçant le sud du pays dans un flux de Sud-Est puissant et surtout très humide.



Situation générale du mardi 21 au samedi 25 mars 2017 - Wetterzentrale


 




En conséquence, les pluies pourraient s'avérer relativement abondantes près de la Méditerranée pour la seconde partie de semaine à venir. Des remontées pluvieuses qui pourraient, compte tenu d'une relative douceur de la masse d'air, s'accompagner d'orages. Une situation encore complexe à cerner du fait de l'évolution incertaine de cette dépression, mais le sud du pays pourrait très certainement subir des journées agitées dès ce mercredi.



Anomalie des précipitations - période du dimanche 19 au dimanche 26 mars 2017 - Tropical Tidbits


 



Animation des précipitations - période du mardi 22 au samedi 25 mars 2017 - Wx Charts


Tenez-vous au courant de l'évolution de ces prévisions via nos bulletins expertisés et mis à jour quotidiennement sur 19 villes (>>) !



 

Publié le 19 mars 2017 @ 16:05

Mars 1975 : un premier jour de printemps hivernal !



Nous sommes désormais à quelques heures du début du printemps calendaire (20 mars). Un calendrier parfois non respecté à la lettre par la météo... Malgré des premières remontées douces synonymes de l'arrivée des beaux jours, Mars reste un mois de forts contrastes, et l'hiver parvient parfois à avoir son dernier mot.


Remontons alors à plus de 40 ans, entre le 17 et le 20 mars 1975. Après un hiver particulièrement doux, une offensive hivernale tardive et remarquable se met en place. Un système dépressionnaire se creuse sur l'Est du pays, nous plaçant dans un flux d'Est à Nord-Est continental, humide et très froid. Dès le 17 mars, la neige fait alors son apparition en plaine sur l'ensemble du quart Nord-Est du pays. Ces chutes de neige s'étendront petit à petit sur des régions plus méridionales. A tel point que le 19 mars, il neige de la Manche orientale au Jura et à l'est du Massif Central en matinée, puis en toutes zones au nord d'une ligne Agen-Embrun l'après-midi (une situation déjà remarquable pour cette époque si tardive).


Les températures au meilleur de l'après-midi sont nettement en dessous des normes de saison, ne dépassant pas les 2 à 3°C sur les ¾ de la France. A Paris, le thermomètre atteint 1.3°C au mieux soit 10°C sous la norme d'une mi-mars.



Situation générale du 19 mars 1975 - Wetterzentrale


 



Températures maximales le 19 mars 1975 - Météo-France


 


Une situation qui ne cesse alors de prendre un caractère exceptionnel le lendemain, 20 mars, pourtant premier jour du printemps 1975 ! Une tempête de neige d'une rare violence paralyse alors la région Parisienne, l'Alsace, la Lorraine, la Champagne, le Centre et le Limousin. On mesure jusqu'à 24cm à Limoges, et même 20cm en plein cœur de Paris, où certains citadins sortent les skis dans les parcs de la capitale ! Une couche qui dépasse souvent les 10cm sur l'ensemble du bassin Parisien (18cm à Creil, 14cm à Villacoublay, 12cm à Roissy).



Chutes de neige sur le bassin Parisien le 20 mars 1975


 


Autre trait de cette offensive hivernale, les températures particulièrement basses : en matinée de ce 20 mars, le thermomètre chute de façon notable, descendant jusqu'à -10°C sur Aix-en-Provence, -7.8°C à Orange ou encore -4.2°C à Nîmes (soit des niveaux entre 10 et 15°C sous la norme !). L'après-midi, les températures restent relativement froides, avec un dégel très bref sur certaines régions centrales (0° à Millau et Limoges, 1° à Gourdon, 1,8° à Clermont-Ferrand).



Températures maximales le 20 mars 1975 - Météo-France


Publié le 19 mars 2017 @ 11:16

Le second hiver le plus doux au niveau mondial

La NASA a mis en ligne son bilan climatologique mensuel mondial. Février 2017 a été le 2ème plus doux sur la période couverte par l'indicateur, soit depuis 1880 (>>). Seul février 2016 avait été plus doux encore.





D'un point de vue plus global, l'hiver 2016 / 2017 s'est également montré le second plus doux des mesures après l'hiver 2015 / 2016.




 

Publié le 19 mars 2017 @ 11:11

Eclosion du premier bourgeon du marronnier de Génève

Cette année, l'éclosion du premier bourgeon du marronnier de la Treille à Genève a eu lieu le samedi 11 mars 2017.


La Tribune de Genève

La date d'apparition de la première feuille du marronnier officiel est notée à Genève depuis 1808. Elle varie très fortement. Ainsi, l'éclosion des premiers bourgeons a été observée le 23 avril en 1816 et dès le 29 décembre durant l'hiver 2002 / 2003. Depuis 1900, on note une nette tendance à une apparition plus précoce. Le réchauffement climatique global joue un rôle dans cette évolution, tout comme les changements intervenus dans l'environnement urbain de l'arbre et l'accumulation marquée de chaleur dans la ville.




A Liestal, c'est un cerisier sauvage à la lisière d'une forêt qui est observé. Une tendance à des floraisons plus précoces peut être constatée à partir de 1990 mais elle est moins nette.




 

Publié le 19 mars 2017 @ 11:11

Nouvelles inondations meurtrières au Pérou



Le Pérou est une nouvelle fois la proie de terribles orages ces derniers jours, apès avoir déjà été touchée par des inondations en Janvier dernier. La situation est critique près de la capitale Lima, où ces pluies diluviennes sont responsables de crues éclairs catastrophiques.



Orages au dessus du Pérou - image satellite Aqua / Modis - 17 mars 2017


De nombreux fleuves côtiers sont entrés en crue. Ces pluies dévalant les pentes de la cordillère des Andes se retrouvent alors à arpenter les rues de certaines bourgades, prenant parfois la forme d'un fleuve en furie, en l'instant de quelques secondes.


#prayforperu Por favor ignoren las voces. Mucha gente ha perdido sus casas y colegios en provincias no ubicarán clases hasta abril pic.twitter.com/EtalyM0ewM

— alex aka femina (@xHeyBruhx) 16 mars 2017




Les images, souvent impressionnantes, démontrent le caractère soudain et meurtrier de ces inondations, qui ont déjà causé la mort d'une dizaine de personnes dans la province de Lima.


 



 




 


C'est près d'un demi million de personne qui ont été touchés par ces fortes pluies orageuses au cours de ces dernières semaines. En effet, le pays est confronté à de fortes inondations à répétition depuis le début de l'année (notamment à la fin du mois de Janvier) en ayant provoqué le décès de plus de 60 personnes à travers le pays.


Le président Péruvien Pedro Pablo Kuczynski, a par ailleurs décrété l'Etat d'urgence sur 11 régions parmi les 25 que compte le pays, tout en promettant de déblocage de l'équivalent de 700 millions d'euros en soutien des zones sinistrées.



Photos : Facebook "El Despertat a un nuevo mundo"



 


Ces catastrophes climatiques autour du Pérou pourraient être la conséquence d'un « El Niño côtier ». Le phénomène El Niño correspond habituellement au réchauffement sensible des eaux de la portion équatoriale de l'océan pacifique.


Or, actuellement, ce réchauffement n'est en cours qu'au niveau des côtes Péruviennes et Equatoriennes (anomalie de la température de l'océan y atteignant les +2 à +3°C). Dans ces conditions, les alizés qui soufflent habituellement d'Est en Ouest faiblissent ou peuvent même finir par prendre des directions contraires. Le Pérou est alors confronté à cette dernière situation, avec des vents refluant de l'Ouest vers l'Est, tout en s'accompagnant d'humidité et donc d'orages fortement alimentés par les eaux anormalement chaudes des côtes.





Anomalie de la température de surface de l'océan Pacifique - période 21 décembre-8 mars / Climate Prediction Center NOAA


Publié le 18 mars 2017 @ 19:00

Bouffée printanière provisoire jusqu'au Nord

La première quinzaine de mars a été plus douce que la normale en France et sur la majeure partie de l'Europe.



L'excédent sur le Nord de la France s'est davantage constitué au gré des températures nocturnes élevées sous un ciel souvent chargé et donc peu printanier tandis que le Sud et surtout le Sud-Est profitait de belles journées très ensoleillées et très douces après des nuits encore fraîches (>>).


20°C sous un grand soleil à Grenoble (38) - 15 mars 2017 - Gjartur

Cette ambiance précocement printanière a poussé jusqu'au Nord de la France jeudi 16 mars sous l'impulsion d'une dorsale anticyclonique. Pour la première fois de l'année, il a fait jusqu'à 20°C à Paris avec près de 3 semaines d'avance par rapport à la date médiane observée ces 30 dernières années (4 avril).



Il s'agissait d'en profiter car dès vendredi, un flux de Nord-Ouest plus humide et nettement plus frais gagnera.



Retrouvez notre bulletin de prévision mis à jour quotidiennement.


 

Publié le 17 mars 2017 @ 07:16

Fortes amplitudes de température en mars

On ne sait plus comment s'habiller ! Les températures du mois de mars marquent fréquemment de fortes amplitudes, parfois au sein même d'une même journée comme c'est actuellement le cas sur le Sud et l'Est de la France. A Grenoble, le thermomètre affiche quotidiennement un peu moins ou un peu plus de 20°C l'après-midi tandis que les nuits demeurent fraîches avec moins de 5°C.


ROMMA

Ces écarts sont encore plus marquées sur les plateaux ou au coeur des hautes vallées très refroidis par rayonnement nocturne la nuit mais réchauffés par un soleil déjà haut le jour, par exemple à Barcelonnette (1155 m en Ubaye, Alpes de Haute Provence) avec 22,7°C d'écart mercredi 15 mars entre une minimale à -3,7°C et une maximale à 19,0°C !


Soleil et douceur après les gelées nocturnes à Barcelonnette (04) - Mars 2017 - Kingjmg12

D'une manière plus globale, les records de froid et de chaleur du mois de mars font le grand écart avec généralement une amplitude dépassant 35°C voire 40°C dans l'intérieur. Sur notre échantillon, Clermont-Ferrand détient la palme avec pas moins de 47,2°C d'écart entre la minimale du 11 mars 1931 (-21,3°C) et la maximale du 25 mars 1981 (26,6°C).




 

Publié le 17 mars 2017 @ 07:16

Tempête de neige Stella après un hiver doux en Amérique du Nord

L'hiver 2016 / 2017 a été nettement plus doux que la normale sur la majeure partie de l'Amérique du Nord, le 6ème plus doux depuis le début des mesures aux Etats-Unis (>>) et même le 3ème plus doux au Québec (>>).



A Chicago, il n'est tombé que 2 cm de neige entre le 18 décembre 2016 et le 11 mars 2017, un record bas depuis le début des mesures en 1870. Une tempête hivernale baptisée Stella a néanmoins changé la donne depuis. On mesurait 18 cm de neige fraîche mardi 14 mars.


Neige à Chicago (Etats-Unis) - 14 mars 2017 - Mariorganics


Tempête Stella - 14 mars 2017 à 14 h - Satellite GOES13 via Météo-France

Bien que tardive, cette tempête Stella restera sans doute comme la plus sévère de la saison sur le Nord-Est des Etats-Unis et sur l'Est du Canada (>>). Une alerte au blizzard a notamment été nécessaire sur les secteurs de New York, du New Jersey, de la Philadelphie et du sud du Connecticut où habitent 19 millions d'habitants. Il est tombé 18 cm au Central Park de New-York mais nettement plus dans l'intérieur de l'Etat, jusqu'à 79 cm en 24 h à Binghamton, soit un nouveau record (suivi via AccuWeather).



Tempête de neige Stella en Pennsylvanie (Etats-Unis) - 14 mars 2017 - Kory Hartman


Tempête de neige Stella à New-York (Etats-Unis) - 14 mars 2017 - Yushi.95

Cette neige devrait se maintenir au sol pendant plusieurs jours par la suite sous l'effet d'un froid durable, au Québec notamment. Des records journaliers de froid ont d'ailleurs d'ores et déjà été battus (>>).



Sous l'effet de Stella, 19% des Grands Lacs étaient recouverts de glace au 13 mars, soit davantage que durant ces dernières semaines mais autrement moins qu'il y a 2 ans à la même date (67% au sortir d'un hiver 2014 / 2015 particulièrement rigoureux).


GLSEA


 

Publié le 16 mars 2017 @ 07:21

L'OMM confirme les records de douceur en Antarctique

L'Organisation Météorologique Mondiale a vérifié et publié le 1er mars les records de douceur de référence pour la région Antarctique. La commission de climatologie de l'OMM tient à jour des archives mondiales de données concernant les extrêmes météorologiques et climatiques, dont les valeurs maximales et minimales de la température et de la hauteur de précipitation à l'échelle du globe, la masse du grêlon le plus lourd, la durée de la période sèche la plus longue, la vitesse de la plus forte rafale de vent, l'éclair le plus long jamais observé et la plus grande hauteur significative de vague jamais mesurée (>>).



D'une superficie de 14 millions de km², l'Antarctique est un continent froid, sec et venteux. La moyenne annuelle de la température varie entre -10°C environ sur le littoral et -60°C sur les régions les plus élevées de l'intérieur. L'immense nappe glaciaire mesure jusqu'à 4,8 km d'épaisseur et représente 90 % des réserves d'eau douce de la planète, assez pour faire monter d'une soixantaine de mètres le niveau des océans si elle devait fondre entièrement. La péninsule Antarctique, qui s'étend au nord-ouest du continent en direction de l'Amérique du Sud, fait partie des régions du monde où le réchauffement est le plus rapide, presque +3°C sur les 50 dernières années. Environ 87 % des glaciers de la côte occidentale de la péninsule sont en recul depuis 50 ans, processus qui s'est accéléré ces 12 dernières années pour la plupart d'entre eux.



La température la plus élevée en région antarctique (définie comme englobant toutes les terres et les glaces situées au sud du 60ème parallèle) fut de -19,8°C le 30 janvier 1982 à la station de recherche Signy (baie Borge, île Signy). Il a fait jusqu'à -17,5°C le 24 mars 2015 sur le continent antarctique (défini comme étant constitué de la masse continentale principale et des îles adjacentes) à la base de recherche argentine Esperanza située à l'extrémité nord de la péninsule Antarctique. Enfin, une valeur de -7,0°C a été relevée le 28 décembre 1989 sur le plateau antarctique par une station météorologique automatique située à l'intérieur des terres par rapport à la côte Adélie. À l'opposé, la température la plus basse jamais mesurée au sol dans la région antarctique (et sur le reste de la planète d'ailleurs) a été relevée à la station Vostok le 21 juillet 1983 (-89,2°C).

L'Arctique et l'Antarctique sont les parents pauvres des observations et des prévisions météorologiques alors que ces deux régions ont une influence prépondérante sur les régimes climatiques, les courants océaniques et la hausse du niveau de la mer. La vérification des maxima et des minima de température aide à brosser un tableau plus juste du temps et du climat aux frontières extrêmes de la planète. Soucieuse d'accroître les capacités de prévision météorologique et environnementale dans l'Arctique et l'Antarctique, l'OMM participe à l'organisation de l'année de la prévision polaire qui s'étendra du début du deuxième semestre 2017 à la fin du premier semestre 2019 (>>). Cette initiative concertée a pour objectif de développer et d'améliorer les capacités de recherche, d'observation et de modélisation dans ces régions.


 

Publié le 16 mars 2017 @ 07:21
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